La réalisatrice Laetitia Carton tourne son nouveau long-métrage, La petite Classe.
Un film qui va suivre, tout au long d’une année scolaire, une classe de TPS (Toute Petite Section), dans une école maternelle d’un quartier « prioritaire » d’une ville en périphérie d’Angoulême.
18 petits humains et leurs parents, accompagnés par Katia, leur enseignante et Isabelle, leur Atsem.
18 cœurs qui battent fort, 18 bouches qui apprennent à parler, 36 yeux qui bouffent le monde, 36 mains qui découvrent la vie…
Ça rit, ça pleure, ça crie, ça hurle, ça jacasse, ça chante, ça vocifère, ça babille…
Et en grande chef d’orchestre, celle qui ordonne le chaos, Katia ; soutenue par la CNV (la communication non violente), de belles intentions, une immense patience, une foi inébranlable en la métamorphose et l’évolution, et un cœur grand comme ça.
« Nous avons décidé de faire ce film en quelques jours au printemps, et la rentrée est arrivée très vite en septembre. Et j’ai commencé à tourner des images. Donc pour l’instant, nous sommes en recherche de financement, avec Jean Marie Gigon (SaNoSi productions). Et pour financer cette phase de repérage/préparation/tournage conservatoire, et en attendant que les autres financements arrivent, nous avons ouvert un financement participatif, en partenariat avec Déclic – CNV & Éducation, une association de communication non violente, avec de nombreuses contreparties, des places aux avant-premières, des webinaires et des stages de CNV, des journées en montage à nos côtés.
N’hésitez pas à faire passer aux personnes autour de vous, qui sont sensibles à mes films, à la CNV, à l’enfance, et à la transmission.»
Laetitia Carton